Jean-François Mollière
Jean-François Mollière vit et travaille au Mans. Il a étudié la photographie à l’université de Paris VIII de 1984 à 1988. Professeur de photographie à la Maison des Jeunes Jacques Prévert et à
l’école des Beaux-Arts du Mans de 1987 à 1990, il devient journaliste photographe reporter pour le magazine Maxi-Basket en 1990.
Il est l’auteur d’expositions individuelles axées sur les portraits et les paysages. Il a collaboré à plusieurs expositions collectives réalisées dans la Sarthe. Il est lauréat de plusieurs prix dont le Prix Noir et Blanc Ilford.
L’exposition « Des Routes » a été créée en 1994. Le photographe présente ainsi son travail : « J’ai parcouru les routes dans un road-movie sans fin sur les traces de Jacques Kerouac, de Bob Dylan, de Wim Wenders à la recherche d’un territoire intime, voyager pour me retrouver et chercher mes images… Les paysages fusionnaient avec la vitesse comme un écran de cinéma et la vitre était sa fenêtre. »
Depuis 2006, Jean-François Mollière effectue des séjours au Mali, où il réalise des portraits des habitants des villages qu’il traverse et photographie les paysages. Son but n’est pas de présenter un travail militant sur l’Afrique et le Mali. Il souhaite donner une image épurée et minimaliste des personnages et des paysages qui s’offrent à son objectif. Loin d’une vision misérabiliste ou esthétisante de l’Afrique, il tente de capter l’énergie du peuple malien.
Il est l’auteur d’expositions individuelles axées sur les portraits et les paysages. Il a collaboré à plusieurs expositions collectives réalisées dans la Sarthe. Il est lauréat de plusieurs prix dont le Prix Noir et Blanc Ilford.
L’exposition « Des Routes » a été créée en 1994. Le photographe présente ainsi son travail : « J’ai parcouru les routes dans un road-movie sans fin sur les traces de Jacques Kerouac, de Bob Dylan, de Wim Wenders à la recherche d’un territoire intime, voyager pour me retrouver et chercher mes images… Les paysages fusionnaient avec la vitesse comme un écran de cinéma et la vitre était sa fenêtre. »
Depuis 2006, Jean-François Mollière effectue des séjours au Mali, où il réalise des portraits des habitants des villages qu’il traverse et photographie les paysages. Son but n’est pas de présenter un travail militant sur l’Afrique et le Mali. Il souhaite donner une image épurée et minimaliste des personnages et des paysages qui s’offrent à son objectif. Loin d’une vision misérabiliste ou esthétisante de l’Afrique, il tente de capter l’énergie du peuple malien.